Cannes 2018
Cannes, 71ème festival. Ce qu'il attendent !
Ils sont tous prêts, ils ont envie de découvrir le plus célèbre festival de films au monde.
Ils nous ont livré quelques unes de leurs impressions avant de commencer :
Le festival de cannes, événement connu mondialement, était pour moi inaccessible et j’ai du mal à croire que je vais y avoir accès, car, pour moi, seules les stars peuvent y participer !
Mais pourtant c’est vrai ! Je vais découvrir les strass et les paillettes mais surtout le vrai monde du cinéma ! Depuis de nombreuses années, je rêve de m’y rendre et là, ce matin, à 4h30 quand le réveil a sonné, c’était enfin le Jour J, après plus d’une semaine de préparation pour que tout se passe au mieux ! Nous voilà à présent partis pour Cannes, dans la bonne humeur et la bonne ambiance du groupe, comme tout au long de l’année d’ailleurs !
Cette première journée commence déjà fort avec la possibilité de voir 3 films dès notre arrivée : un documentaire, un film italien et, enfin, une comédie ! J’ai et nous avons tous tellement hâte d’arriver et surtout de goûter à la magie du festival de Cannes ! Nous voilà fin prêts pour une semaine pleine de surprises et de rebondissements qui s’annonce magique, en espérant avoir le soleil avec nous ...
Lucas
Je suis dans le bus et je n’arrive toujours pas à croire que je vais passer une semaine au festival de Cannes. Je rêve de travailler dans le monde du cinéma, alors participer à cet événement mondial, c’est comme un rêve qui devient une réalité ! J’espère que ce ne sera pas le dernier ! Je suis consciente que c’est une chance incroyable de pouvoir assister à cet événement, notre lycée nous permet tout de même de faire des choses qui resteront gravées dans notre mémoire à vie !
Je pense qu’on va passer une semaine très rythmée mais géniale ! On va pouvoir voir des films différents, que l’on n’a pas forcément l’habitude de voir, ça va être super intéressant. J’espère voir des réalisateurs, des acteurs, toutes ces personnalités du monde cinématographique !
En plus, on est une super bande de copains, alors je pense qu’on va s’éclater et profiter de cet événement qu’on attend tous avec impatience... et « faire nos stars » sur le tapis rouge !
Lucile
Lundi 14 mai 2018, 10h31
2h de sommeil ... mais des dizaines durant lesquelles j’ai pensé à ce à quoi pourrait ressembler mon séjour au plus grand festival cinématographique du monde : le festival de Cannes.
Pour essayer de fixer des limites à mon imagination, j’ai essayé de suivre un maximum l’actualité et de visualiser les lieux où je vais passer le plus clair de mon temps.
Pour commencer je me suis renseigné sur les personnes présentes et leur importance. Des dirigeants aux simples people à la quête de reconnaissance et d’une montée de notoriété grâce au seul escalier que personne n’aura jamais la flemme de monter : j’ai tout passé en revue.
Ensuite, j’ai regardé à quoi allait ressembler notre auberge et à vrai dire elle m’a agréablement surprise notamment par la vue sur la mer et les magnifiques paysages qu’elle nous offre.
Bien entendu ma curiosité m’a poussé à également visualiser les différentes salles de cinéma. Je dois ainsi avouer que le cinéma de la plage est en tête de mon classement personnel et tout à fait non objectif.
Cependant, je ne réalise toujours pas vraiment ce que je m’apprête à vivre. Il est vrai que j’attends beaucoup de cette semaine, mais j’ai l’étrange sensation que ce n’est qu’un rêve, qu’une pensée. Je pense que je ne m’en rendrai compte que demain une fois bien mise dans le bain.
Inès
Première journée, trois films...
Chris the Swiss d'Anja Kofmel
Semaine de la Critique
Ce film qui appartient au genre documentaire retrace l'histoire d'un jeune journaliste qui a été tué après avoir intégré une milice croate durant la guerre en ex-Yougoslavie.
Une femme fait un rêve en boucle où apparaît son cousin, Christian Wündenberg, surnommé Chris, originaire de Suisse.
Obsédée par ces images qui défilent sans arrêt dans sa tête, elle décide de mener l'enquête sur la mort de son cher cousin. A l'aide des archives de Chris, qui ont été retrouvées, elle reconstitue tous ses trajets, retrouve et interroge les personnes qu'il a côtoyées, puis à son tour va parcourir le même chemin enfin de mieux comprendre les circonstances de son décès.
Chris est un personnage assoiffé de découverte du monde. À la vue d'une guerre sanglante, attaquant tout aussi bien les civils, on ressent la personnalité révoltée de ce jeune homme. Il intègre la PIV, une armée parallèle à l'armée officielle Croate dans laquelle il veut observer, analyser, interpréter puis retranscrire dans un livre la vision de cette milice de mercenaires. Homme honnête, même trop honnête, il dévoile son projet de quitter cette armée pour publier son opinion et ses observations. Mais ce projet est-il en relation avec sa mort ?
Quant à sa cousine, l'enquêtrice , elle ne comprend pas toujours le comportement de son cousin, elle se questionne sur les différentes facettes de sa personnalité et les horreurs de la guerre. Va-t-elle trouver réponses à ses questions ?
C'est un documentaire qui s'interroge sur la violence, la folie meurtrière et le rôle des journalistes.
Au niveau des aspects techniques du film, celui-ci n'utilise pas de fondu enchaîné pour passer d'un plan à l'autre, il joue plutôt sur la brutalité du passage entre des images de nature diverses : il mélange interviews, images d’archives et animation. La qualité des dessins d'animation est très simple et surtout en noir et blanc : le côté sombre évoque probablement le mal, la douleur, la violence et la terreur qu'inspire ce documentaire.
C'est une œuvre filmique que j'ai beaucoup aimée aujourd'hui, qui nous amène à nous poser des questions.
Jade
Lazzaro Felice Alice Rohrwacher
Ce film est une fiction émotionnelle. Elle raconte l’histoire d’un jeune garçon, Lazzaro, exploité par son entourage. Il habite dans un village avec sa famille, tout le monde est pauvre et exploité par lamarquise « De Luna », "reine de la cigarette". Elle a un fils « Tancredi », qui est conscient des escrocries de sa mère et qui fugue pour se lier a Lazzaro. Malheureusement, ce dernier tombe dans un ravin, sa vie va basculer...
Ce film a un cadrage particulier, l’image est petite et a des coins arrondis. Le son (musique) a une grande importance tout au long du film.
Je n’ai jamais été autant captivé par film, il est très intriguant, touchant et fait beaucoup réfléchir. C’est pour moi l’un des meilleurs films que j’ai vu de ma vie.
Lucile
Le grand bain Gilles Lellouche
Cette comédie, qui a donc pour but, comme l’indique son nom de faire rire met en scène l’histoire de 7 hommes dont on découvre leur vie personnelle. Chacun rencontre différents problèmes, et n’ont pas une vie classique (dépression, chanteur, un chef d’entreprise, un vendeur de piscine...). Par hasard, ils décident tous de créer une équipe de natation synchronisée. Ils ont à présent pour objectif de participer à un championnat mondial de natation synchronisé tout en sachant qu’ils n’en ont jamais fait. Ils seront accompagnés par 2 maîtres nageuses, qui elle aussi rencontre certains problèmes
Le film est notamment centré sur l’équipe des 7 garçons qui rencontrent tous un problème différent bien précis (économique, de travail, familial...). Il y a également les 2 maîtres nageuses qui étaient copines avant, dont une qui est en fauteuil roulant sûrement la raison de leur dispute. Et enfin, on retrouve les proches (famille, amis...) des 7 coéquipiers qui jouent un rôle essentiel et apportent des éléments complémentaires et essentiel pour une bonne compréhension de l’histoire.
Ce film a donc pour but de nous monter que chacun rencontre ses problèmes, qu’on est tous différents mais qu’il ne faut jamais abandonner et toujours avancer pour ainsi réaliser ses rêves !
Dès le début, on commence par un fond noir avec un rond au centre dans laquelle on peut voir des objets, des choses de la vie quotidienne et de forme ronde, on retrouve ensuite de même avec un carré ! Durant tout le film on a un enchaînement de plan court comme par exemple lors de la chorégraphie ! On a également la musique qui s’accorde avec les scènes comme lorsqu’il y a de la musique elle s’augmente.
J’ai plutôt un avis mitigé sur ce film malgré que j’ai aimer en général. Je n’ai cependant pas tout compris, il y a des scènes qui restent dans le floues notamment à cause du nombre de personnages qui étaient dur à suivre car ils se ressemblent et on parfois une histoire assez similaire.
Lucas
Deuxième journée
Comprame un Revolver Julio Hernandez Cordon
Ce film mélange de l’action et de l’émotion. Nous nous retrouvons dans un pays où les femmes et les filles disparaissent. Un père a perdu sa femme et protège sa fille en la masquant pour la faire passer pour un petit garçon. Ce père se démène pour offrir à sa fille une belle vie malgré le chaos qui les entoure, il est exploité par des hommes qui enlèvent les femmes. La petite fille a une bande de copains dans laquelle il y a trois petits garçons. Ils ont tous été enfermés dans des cages et l’un s’est fait couper l’ avant-bras. Malgré cette horreur, ces petits garçons et cette petite fille essayent de combattre ces hommes armés en se fabriquant de petites armes et une petite catapulte. Ils vivent dans la misère. La petite fille est très reconnaissante envers son père, elle essaye aussi de le protéger, en lui cachant sa drogue par exemple car elle sait que c’est mal pour sa santé.
On se demande si le père va retrouver sa femme disparue, si cette misère va séparer le père et sa fille... Si le petit garçon va reussir a récupérer son bras....
On se rend compte de la misère dans laquelle des familles peuvent vivre, mais on voit que malgré ces atrocités et cette horreur, leur amour entre eux est puissant !
Ce film m’a beaucoup touché, j’ai été captivée par celu-ci, il m’a beaucoup ému.
Lucile
Le premier film que nous avons visionné au cinéma de la Licorne s’intitule “Achete-moi un révolver “. Il est d’origine Mexicaine et est plutôt violent, avec des problèmes de drogue, des règlements de compte , et autres bagarres et meurtres .
Le film va nous laisser un grand nombre de questions à la fin .
Pourquoi le père va tout faire pour sa fille pour au final tout faire pour s’en éloigner ?
Personnellement j’ai beaucoup apprécié ce film qui pouvait nous montrer certaines réalités de la vie en s’inspirant des gangs de narcos-trafiquants mexicains.
Marie
Le premier film que nous avons vu le deuxième jour s’intitule “Achetez-moi un révolver “.C’est un film Mexicain avec des scènes plutôt violentes et d’autres plus sensibles, des scènes évoquant les problèmes de drogue ainsi que des règlements de compte et des meurtres .
Je n’ai pas vraiment apprécié ce film un peu trop violent et lourd même s’il a un côté réaliste, inspiré par les gangs de narcos-trafiquants.
Damla
Di qiu zui hou de ye wanhttps://www.festival-cannes.com/fr/... de Bi Gan
Un grand Voyage vers la nuit
Salle Debussy du palais des festivals, l’équipe du film était présente, sélection un certain regard.
"Il ne faut pas trop apprendre, comme ça il y a moins de choses à oublier", la phrase est répétée plusieurs fois en substance dans le film.
Un homme revient dans son village natal pour retrouver la trace de la femme qu’il a aimée. Cette histoire s’articule autour de trois temps de récit, comme emboîtés les uns dans les autres. Ainsi la narration oscille entre rêves et réalité et, imperceptiblement, la limite entre les deux s’efface. Un certain nombre de procédés de narration renforcent le trouble, la même actrice joue plusieurs "rôles", ou plutôt un rôle par "espace-temps". Le réalisateur n’hésite pas non plus à faire appel à la 3D qui ici n’est pas un "plus" mais un réel outil au service de la construction du film. L’image et la photographie sont très soignées avec un travail particulier sur l’eau et les reflets dans la première partie et sur la nuit dans la seconde.
Il faut du temps pour "digérer" ce long film de plus de 2h, mais au final nous découvrons un autre cinéma, le festival est pour cela une occasion unique.
Y. L
Manbiki Kazoku Une affaire de famille / Kore-Eda Hirokazu
La famille est un des piliers japonaise que le réalisateur a choisi d’interroger dans ce film. Il nous touche immédiatement avec l’histoire d’une petite fille maltraitée (Juri), au bord de l’abandon mais finalement recueillie par un homme et son fils. La petite est peu à peu "adoptée" par cette famille peu ordinaire, qui vit chez la grand-mère et assure une grande partie de son quotidien par des expédients plus ou moins légaux, en particuliers des vols à l’étalage.
Malgré cela les liens entre les différents membres de la famille sont très forts. Et pourtant... petit à petit Kore-Eda disperse, un par un, ceux qui s’étaient rassemblés sous un même toit.
La question systématiquement posée est celle du lien, qu’est-ce qui fait lien ? Faut-il être père, mère, faut-il être sœurs et frères ? AU-delà la question qui est posée est celle de la propriété (si on vole quelque chose cela appartient bien à quelqu’un - même si ce n’est pas encore vendu... et finalement est-on propriétaire de ses enfants ? Finalement Juri est "récupérée" par ses parents mal-aimants...)
"Il vaut mieux choisir sa famille, on est moi déçu" dit l’un des personnages.
Y. L.
Ce film fait partie du genre fictif c’est un film japonais. Dans se film on nous montre un Japon différent de ce que l’on peut voir habituellement c’est un Japon dans la misère et la précarité qui nous est présentée avec une famille nombreuse composée d’une grand-mère, d’un homme qui est marié a une femme qui a kidnappé un jeune garçon. On n’a aussi une adolescente qui est obligée de se prostituer. Enfin le personnage qui est au centre de cette histoire est une petit fille qu’il recueille chez eu car elle se faisait battre par ses parents. Que va t’il se passer tout au long de cette histoire et quel sort leur est réservé dans ce monde, cette société qui ne laissent aucune place à la faiblesse ?
Les scène étaient enchaînées grâce a des cut au noir qui durait environ 1-2 seconde
J’ai bien aimer se film car il nous montrai une vision différente de la société japonaise et des "liens" familiaux. Tout n’est ici que faux semblants, les enlèvements, les relations entre les membres de cette famille paraissent finalement plus "vrais" que le monde extérieur.
Florian
Le film Une Affaire de famille est un drame japonais réalisé par Hirokazu Kore-Eda, il fait partie de la sélection officielle du festival de Cannes. C’est l’histoire d’une famille qui vole pour pouvoir vivre, ils habitent dans un taudis. Le père et le fils ont une technique très particulière pour organiser leurs vols, avec des gestes et des regards. Ils trouvent dehors une petite voisine âgée de 5 ans qu’ils prennent avec eux, celle-ci s’étant fait violenter par sa mère ils décident de la garder chez eux et de la cacher. Plus le temps passe et plus la petite s’approprie la famille. Elle commence à voler avec son « frère » et son « père », elle vit avec eux comme si c’était sa propre famille. Il y a beaucoup de moments touchants, prenants. Les acteurs jouent très bien leur rôle, c’est une histoire prenante et qui dénonce en quelque sorte la pauvreté et la difficulté de vie de certaines familles dans le monde. Certains sont prêts à tout pour s’en sortir, comme voler dans n’importe quel magasin. Certaines séquences sont un peu longues mais très intéressantes, j’ai beaucoup aimé ce film et son sujet. C’est une belle leçon de vie car même en étant pauvre cette famille s’en sort et on peut y voir beaucoup d’amour et c’est vraiment touchant.
Clémence
Ce film tiré du genre dramatique évoque l’histoire d’une soit disant famille, qui semble vivre dans la pauvreté. Ils vivent dans une sorte de grand appartement mais tout défriché, sale, sans rangement, sans un minimum pour vivre, ils paraissent habiter dans un taudis. Cette famille est constitué d’une grand mère, du fils et sa femme, d’un petit garçon et d’une sœur. Ils ne touchent que très peux d’argent, les aides sociales, certains travail effectué par le père ou la mère... Pour survivre, ils se sont donc mis à voler, et tout se déroule notamment entre le père et le fils qui semblent formé un bon duo bien organisé. Cependant, un soir en rentrant chez eux, ils virent une jeune petite fille, dehors, dans le froid, seul, ils vont ainsi la ramener chez eux, la nourrir et s’en occuper... mais comment va évoluer cette famille qui vit dans l’illégalité constante ? Que va devenir la petite fille ? Le jeune garçon est-il réellement à sa place ?...
On retrouve dans ce film 3 personnages principaux, le fils nommé Shôta, qui ne va pas à l’école et aide son père à voler ; puis, la petite fille, nomme Jury, va finalement évolué au cœur de la famille et va jouer un rôle essentiel et enfin, le « père » qui permet de ramener à manger à la maison. On a également la présence de la grand mère, qui est le maillon fort qui soude la famille, puis la sœur et enfin la « mère ». Les personnages vont ainsi évoluer au cours du film, certains vont changer, d’autres évoluer et certains ...
A travers ce film, qui est asiatique à la base, peut s’adapter à vraiment toutes origines ! On peut ainsi voir les conditions de vie des familles défavorisées, les manières qu’ils trouvent pour essayer de s’en sortir ou surtout de survivre mais aussi de voir une réelle leçon de vie. On peut donc retenir qu’il ne faut jamais juger les personnes, il faut parfois juste les comprendre et s’imaginer à leurs vies, même si l’illégalité finit toujours par être punit. C’est cela que va réussir à comprendre le jeune garçon. Mais malgré les vols qu’ils commettent on se rend tout de même compte qu’ils ont un grand cœur, puisqu’ils finissent par garder Jury même si ils rencontrent déjà de nombreux problèmes.
Au niveau du tournage, on remarque de nombreux plan qui sont fait en plan de demi ensemble, comme par exemple, toutes les scènes de vols. On retrouve, quelques fois dans le film des fondu enchaînée noirs qui permettent ensuite d’enchaîner sur une scène qui n’a pas vraiment de rapport avec la précédente, cela permet ainsi de couper le film, un peu comme des chapitres dans un livre. Et enfin, on découvre cette histoire notamment à travers le visage de chacun ses personnages de la famille et plus particulièrement à travers le petit garçon. La scène se termine avec un fondu enchaîné noir, ou l’on peut voir la petite fille sur le balcon...
Personnellement j’ai bien apprécié le film, car il fait passer plusieurs leçons de morales mais en même temps il nous rappelle la loi tout en gardant un minimum de comique. Parfois, certains plans étaient un peu long malgré tout, mais la qualité de tournage est cependant appréciable. Pour conclure, un film qui reste largement positif et donc, un film à conseiller !
Lucas
Le dernier film que nous avons vue est d’origine japonais.
Il nous présente l’histoire d’une famille qui a des difficultés avec le travail et qui vole .
Un jour, après avoir voler dans un magasins les deux “hommes” de la famille vont voire une petite fille de 5 ans seule et “effrayer”. Ils vont donc la recueillir en apprenant petit à petit l’histoire de cette petite qui va vite devenir comme la “petite sœur “. Un certain nombres de questions vont par la suite ce posé. Pourquoi ça famille ne s’inquiète t-elle pas maintenant de sa disparition ? Pourquoi un besoin constant de voler ? Quel est le passé de la petite ?
J’ai beaucoup apprécié ce film qui avait un synopsis touchant et qui selon moi ce démarquait un petit peu des autres films que nous avons pu voir pour le moment .
Marie
Ce film est un film touchant sur la notion de famille unie même s’il n’y a aucun lien du sang ils sont là les uns pour les autres cette famille est une famille qu’ils ont en quelque sorte choisi.
Nadia
Le 3ème film que nous avons visionné évoque l’histoire d’une famille japonaise, pauvres. Le père et le fils volent de la nourriture, et tout pleins de matériaux pour leur maison. Un soir en rentrant chez eux, le père et le fils on trouvés une petite fille âgée de 5 ans seule dehors sans ses parents apparemment absents, il l’a récupère. Cette petite fille est couverte de bleus, maltraitée par ses parents. Après un long moment la mère est d’accord pour adopter la petite fille malheureuse. La petite fille considère le fils de la famille comme son grand frère et vole à son tour.
Méline
Durant notre attente dans la file nous avons pu ainsi discuter avec un homme, passionné de cinéma. Il s’agit de Bernard Oheix, qui a été directeur du palais des festival pendant plusieurs années. Cette année il assiste à son 45eme festival, et il trouve celui de cette année particulièrement intéressant, sachant qu’il a vu déjà 24 films. Durant ce festival, il trouve beaucoup de films particulièrement intéressants, passionnants, variés et qui reprennent un certains de nombre de thèmes. D’ailleurs, on retrouve ces thèmes dans de nombreux films mais ils sont à chaque fois interprétés différemment ! Son film préféré est "girl", et il a également beaucoup aimé un film sur la Syrie et le Srebrenikof. Cette année est, selon lui, exceptionnelle car les films sont pratiquement tous bien, à part 3 qui lui semblent un peu maladroits comme "heureux comme lazzaro" dans lequel il estime qu’ il y a eu un problème dans l’introduction du monde merveilleux.
Ce monsieur, qui est cannois, habite juste en face du théâtre de la licorne, ce qui lui permet d’accéder à celui-ci lorsqu’il le veut et, ainsi, de vivre sa passion au maximum, il nous a également indiqué l’adresse de son site internet
Une rencontre bien intéressante comme on peut en faire dans les files d’attente cannoise !
Marie, Charlotte et Lucas
Troisième journée
Comment décrire cette journée ? L’une des meilleures, je pense. Nous avons vu trois film extraordinaires, tous touchants dans des genres différents. Et cette soirée, mais Wouahouh ! Le mot qui la qualifie le mieux ? « MAGIQUE », je dirais ! Entre les strass, les paillettes, les caméras, LE TAPIS ROUGE, on s’est sentis tout petits dans ce monde de géants. On a pu se pouponner en se maquillant et en portant des robes de soirée ... comme des stars ! C’était tellement inhabituel ... mais qu’est-ce que c’était bieeen !!! Je souhaite à tout le monde de vivre ce que l’on a vécu ce soir, je ne réalise toujours pas tellement ça me parait irréaliste !
Lucile
Mario de Marcel Gisler
Un film qui a fait polémique, puisqu’il a été retiré de la sélection officielle "écrans juniors", jugé trop "explicite" pour être montré à un jeune public par des enseignants cannois responsables de cette sélection... Il était malgré tout programmé à la Licorne par Cannes cinéphiles ( coup de cœur - cf articles ci-dessous) en présence de quelques jeunes, du publics et de nos élèves montcelliens.
Les réactions de nos élèves de Saint-Léon-de-Vignes montrent à quel point on prend parfois nos jeunes... pour des enfants... Bref au-delà de la nécessité de les protéger, il semble que le travail sur l’image, bien conduit, avec les enseignants, permette au contraire de "montrer", de "construire" et d’éduquer le regard et l’esprit. Bravo à eux et belle preuve d’ouverture que les adultes devraient pouvoir apprécier. Une belle éducation à la discussion et à la "polémique" également.
Ci-joint un article paru dans La dépêche
Le film a finalement été déplacé officiellement "hors compétition" en "coup de cœur" de Cannes Ecran Junior
Yves Leblanc, Régis Rémond
Mario
Ce film traite le sujet de l’homosexualité qui au jour d’aujourd’hui est encore tabou à en voir et entendre les réactions du public dans la salle.
C’est l’histoire d’un joueur de foot avec un énorme potentiel qui rêve de passer en première ligue, mais il va tomber amoureux d’un homme et là, tout va se compliquer, pour lui car dans notre société tout est une question d’image. En l’occurrence le club ne veut pas faire scandale et salir son image avec cette histoire. Il devra faire un choix le foot son rêve ou l’amour. On devrait pas avoir à faire se choix car notre vie privée n’affecte pas nos compétences ce n’est pas parce que l’on est gay que l’on joue mieux ou moins bien au football. Peu importe de qui on tombe amoureux, cela ne regarde que les personnes concernées et non leurs patrons, leurs collègues, leurs co-équipiers... nous sommes tous différents nous n’avons pas les mêmes goûts les mêmes attentes et heureusement. Que l’on soit homosexuels ou hétérosexuels cela ne devrait rien changer.
Nadia
« On joue peut être au foot... mais je m’en pète » est une phrase du film Mario. Mario, le personnage principal, joueur de foot professionnel tombe amoureux d’un homme qui joue dans son équipe de foot. Rapidement la "nouvelle" s’ébruite, et le club leur demande de s’afficher en public avec une femme pour que la rumeur s’estompe. Mario a un un choix à faire entre son histoire d’amour jugée, pas tolérée dans le milieu du foot et son histoire d’amour avec Léon.
Marilou
Mario est un film dramatique, qui dit drame dit généralement touchant, tristesse. Il s’agit de l’histoire d’une équipe de football en Suisse qui accueille un nouveau joueur, nommé Léon, à intégrer l’équipe. Ce nouveau joueur est au départ mal intégré mais Mario, un joueur prend sa défense. L’équipe souhaite atteindre un niveau supérieur, un meilleur niveau, et certains joueurs souhaitent même atteindre la première subdivision. Les 2 joueurs qui justement ont le niveau sont Léon et Mario ; ils vont donc prendre un appartement en co-location. Ils se lient d’amitié et très rapidement d’amour, cependant cette amour doit rester cacher car pour atteindre un meilleur niveau de foot, il ne faut surtout pas être homosexuel notamment pour l’image du club, du sport ... Comment va ainsi évoluer la situation entre les 2 personnages, tel est la question ...?
On a donc deux personnages principaux, Mario, qui est le joueur accueillant le nouveau, celui qui se bat pour passer en 1ere subdivision. Le second est Léon, qui est le nouveau joueur, il ne va jamais vraiment réussir à s’intégrer, et il va finir par tomber littéralement amoureux de Mario. On retrouve ensuite la famille de Mario, le père qui est contre l’homosexualité étant donner de sa passion pour le foot ; quand à la mère, elle défend son fils, est solidaire. Ensuite on a également la meilleure amis de Mario, qui va jouer le rôle de sa copine pour masquer la rumeur. Et enfin, dans le monde du foot, on retrouve le coach/ agent de Mario et Léon qui sont à leur écoute, sans oublier l’équipe de foot qui ne va pas arrêter de les juger.
On retrouve donc plusieurs messages qui sont passés dans le film. Pour moi le plus important est toujours basé sur le fait que l’homosexualité est un sujet tabou, et encore plus dans le sport ! Cependant malgré le fait que l’homosexualité est beaucoup rejetée, critiquée, mais il faut continuer d’assumer, de se battre contre l’homophobie et ainsi, arrêter de juger ces personnes car elles sont comme toutes les autres !
Pour montrer les ressentis des personnages on a un jeu intense avec les regards des personnages, on souvent un plan rapproché épaule pour bien nous montrer ce qu’ils ressentent. La musique joue également un rôle très important, elle permet de plonger le spectateur au cœur du film.
Personnellement, j’ai beaucoup aimé ce film, car il dénonce parfaitement l’homophobie en général et plus spécialement dans le monde du sport. J’ai été vraiment très étonné de l’attitude des spectateur dans la salle de cinéma lorsque les 2 garçons se sont embrassés (on entendait les gens se moquer) on peut donc voir que les personnes qui sont homosexuelles sont encore considérées comme des personnes pas normales, digne d’être moqué, critiqué et jugé. Le film est cependant un bon moyen de faire réfléchir, il se termine sur une fin qui me paraît assez brutale, et surtout triste. Pour conclure, c’est un excellent film que beaucoup devraient regarder et pour ainsi donner des leçons à chacun toujours dans le but de faire évoluer la société face à cette situation qui n’est pas encore pas résolu.
Lucas
Mario est un film dramatique de Marcel Gisler. Évoquant l’homosexualité de deux jeunes footballeurs.
Pour la première fois de sa vie Mario, un jeune footballeur, tombe amoureux de Léon qui est un nouvel attaquant venu d’Allemagne. Ils ne s’appréciaient pas forcément car Leon jouait très solo mais finalement ils ont commencé à coopérer puis ils se sont installés en coloc. Un jour une chose arrive et leur relation change instantanément, un coup de foudre arrive. Cependant des rumeurs tournent dans leur club et Mario voit sa carrière compromise pour intégrer un club de première division. Du jour au lendemain tout s’écroule et les deux jeunes garçons se séparent à cause de la provocation des autres. Leur coach et les agents les ont cependant aidé à traverser cette « épreuve » mais pourtant leurs chemins se sont séparés.
Ce film dénonce le rejet homosexuels dans la société, c’est un sujet très sensible qui peut toucher beaucoup de personnes. Certaines personnes se privent de vivre ou perdent la vie à cause de toutes ces insultes, ces comportements. Personnellement j’ai énormément aimé ce film, cela peut faire prendre conscience à beaucoup de personnes qui sont immatures sur ce sujet. L’homophobie est présent partout dans le monde et ce film pourrait changer la façon de penser.
Clémence
Critique de Mario
Ce film fait parti du genre fictif dramatique qui fait ressortir une triste réalité sur une homophobie bien présente encore au 21ème siècle. Réalisé par Marcel Gisler. Dans ce film, le milieu du foot est visé et sont fonctionnement dans se film on parle d’une équipe de foot qui intègre un nouveaux joueur Léon. Ce joueur tombe amoureux d’un joueur de l’équipe Mario dont l’objectif est de rentrer en première division. Une histoire d’amour commence entre eux, dans la discrétion, mais qui sera vite découverte par les membres de leur équipe qui commencent à leur faire du chantage pour qu’il les laissent marquer que va t’il donc se passer pour eu et leur carrière ?...
Florian
Ce film du genre dramatique traite un sujet d’actualité dont le contenu divise plus d’un : la question d’homosexualité dans un milieu sportif masculin est-elle envisageable ?
Ce film nous raconte l’histoire d’amour de deux jeunes garçons qui pratiquent tous deux une passion commune, le foot. Co-équipiers et bon amis, un lien se créer entre eux et finissent par tomber amoureux l’un de l’autre. Mario, le personnage principal est encore perdu sur son orientation sexuelle et se pose énormément de question. Quand à Léon, qui a eu plus d’expérience est sûr de lui et cela ne le dérange pas de s’assumer. Léon est très attachant et attentionné envers son partenaire Mario. Léon est un excellent joueur de foot, destiné à un avenir prometteur. Footballeurs et homosexuels sont deux mots impossibles à réunir pour l’équipe. Mario s’attache à sa fierté et préfère cacher ce secret par peur de perdre son avenir de carrière de footballeur. Mais d’un côté il préfère plus ne pas l’assumer par fierté et pour son image, que par avenir. Pour Léon, vif et ouvert d’esprit, il n’est pas impensable de le révéler malgré les conséquences qui pourraient être engendrées. Leur secret finira-t-il par être révélé ou découvert au grand jour ? Quelles seront la réactions de leur proches et collègues ? Réussiront-ils a avoir une carrière dans le foot ?
Je vous conseille fortement ce film rempli d’émotions qui nous fait réfléchir sur l’image que nous donne la société actuelle et les préjugés.
Farrah
Nos Batailles Guillaume Senez
Ce film évoque une problématique familiale et sociale dramatique : c’est un film triste et émouvant où il est question de la famille Vallet - le père, Olivier, la mère, une fille et un garçon. Dans ce film, on voit une mère qui prend en cachette un traitement psychologique et qui travaille dans un magasin de prêt à porter ; on voit aussi son mari qui est chef d’équipe dans une usine et qui se donne à fond pour que ses gars soient le mieux traités - mais un jour sa femme fait un malaise à son travail et le lendemain elle part avec ses affaire en laissant derrière elle mari et enfants... alors, une recherche s’engage pour la retrouver. Réussiront-ils à la retrouver et à régler les problèmes qu’ils rencontrent ?
Florian
En Guerre de Stéphane Brizet
Ce film relève du drame social. Dans ce film, on met en scène une entreprise fictive (Perrin - sous-traitant du secteur de l’automobile) en danger, qui doit être fermée pour être délocalisée en Roumanie. Alors ses employés décident de se mettre en grève car l’accord qu’ils avaient passé avec le patron de cette usine pour maintenir l’emploi pendant au minimum 5 ans n’a pas été respecté ; un fervent défenseur de la cause ouvrière, Laurent, prend les rênes de cette grève pour mener tous les ouvriers devant le grand patron pour qu’il ne ferme pas l’usine. Au début de cette grève tous les ouvriers sont soudés, mais plus le temps passe et plus l’argent manque... et ils commencent à partir à se diviser mais Laurent, lui, reste avec ses convictions radicales, ce qui déplait à de nombreux ouvriers qui l’abandonnent... Laurent décide alors de bloquer la deuxième usine du groupe (située dans le film à... Saint-Léon-de-Vignes !!!). Comment ce combat héroïque (filmé parfois comme une guerre) finira-t-il ? Sauveront-ils leur leurs usine ?
Florian
En guerre :
En guerre est un film social, qui s’inspire d’un fait réel, il y a très peu d’acteurs professionnels, beaucoup sont amateurs. Il s’agit de la prévision du licenciement de 1100 personnes suite à la fermeture de "l’usine Perrin" à Agen. On peut voir des manifestations dans la rue, avec notamment des syndicalistes qui cherchent à lutter contre la fermeture de l’usine. Au delà de la perte de travail, les ouvriers se sentiront également trahis, car il y a 2 ans ils ont signé un compromis avec le patron de Perrin qui consiste à travailler 40h payées 35, et en échange il devait y avoir du travail au moins pendant 5 ans. Les manifestations vont se succéder, l’entrée de l’usine est complètement bloquée et cela pour on ne sait combien de temps. Qui va gagner ? L’entreprise et le patron qui souhaite fermer pour une cause peu valable, ou les ouvriers qui ont la volonté de travailler ?
Ce film est notamment dirigé par une personne, il s’agit de Mr Amédéo, qui est le représentant CGT du personnel et qui met en place différents moyens pour lutter et gagner face à ce licenciement. Ensuite on a une femme qui est alliée avec Mr Amédéo, qui n’a pas peur de prendre la parole, qui l’aide beaucoup... Ce sont en fait les 2 maillons forts du film, tout est centré sur eux. On retrouve également le patron de l’entreprise, qui essaie de trouver des accords, de faire réouvrir l’usine mais il y a aussi le grand patron du groupe. Et puis on oublie pas non plus tous les ouvriers, 1100, mélangé entre ceux qui veulent continuer à travailler et ceux qui veulent lutter contre ce licenciement. Et enfin, on retrouve tous les envoyer politique, ceux qui font le lien entre le président de la république et le patron, et qui sont sensé faire avancer les choses. Pour conclure, une pensée à Saint-Léon-de-Vignes, ville qui est citée de nombreuses fois pour avoir fait le même mouvement dans leur usine "Perrin" (pas la vraie mais la fictive) ; les 2 sites d’Agen et de Montceau se sont liés pour devenir encore plus forts !
Dans ce film, qui n’est pas courant, on a aussi plusieurs messages, le plus essentiel tout de même est le fait qu’il ne faut jamais ce laisser faire. En France, on a le droit de grève, manifestation, donc il faut faire fonctionner ses droits pour se faire entendre. Même si c’est dure, et que cela semble peu efficace, il ne faut jamais baisser les bras, car rien n’est perdu ! Malgré cela, la fin, cruelle nous montre que les chefs d’entreprise qui gagnent des millions d’euros, ne s’intéresse pas aux ouvriers, la seule chose qu’ils voient ce sont les chiffres. On peut donc voir que pour eux, nous sommes considérés comme des pions, il n’y a pas d’égalité, et même pire, les ouvriers peuvent être trahi ! Cependant, tout cela n’arrive qu’aux ouvriers car jamais, ceux qui sont à la tête de l’entreprise se sentiront trahis, humilier...
Ce film qui est inspiré d’un fait réel, est beaucoup tourné par des personnes amateurs, il met en scène ainsi la société et la classe ouvrière française, et permet de s’imaginer à la place des manifestants. Pour le tournage, on se retrouve souvent avec une caméra portée notamment lors des manifestations ! On a beaucoup de plan de demi-ensemble, cela permet de montrer le peuple, les manifestants, le pouvoir des ouvriers, c’est surtout pour montrer aux spectateurs qu’il ne faut jamais abandonner. On retrouve également une musique qui se répète plusieurs fois dans le film, qui met des frissons aux spectateurs, ajoute un rythme et fait ressortir cette part de révolte en nous.
Pour mon avis personnel, j’ai bien aimé ce film car il met en scène des actions de la vie réelle, cela permet de voir les différentes étapes pour obtenir ses droits et aussi la difficulté à les obtenir ! Cependant, malgré le fait je sois entré directement dans le film, ce n’est pas un film que je pourrais regarder un seconde fois, puisque je ne suis pas transporté vraiment par l’histoire comme dans les films classiques, j’ai plus l’impression de suivre un énorme journal télévisé ou l’on nous montre le combat des ouvriers.
C’est tout de même un superbe film, touchant, révoltant, mais vraiment très intéressant à voir au moins une fois !
Lucas
En guerre
Ce film est un film social. Il met en évidence la position des ouvriers par rapport au grand patronat. C’est l’histoire d’une entreprise qui ferme et qui met au chômage 1100 ouvriers, ils vont donc se battre, lutter pour garder leur travail et pouvoir rencontrer le grand patron de toutes entreprises DIMKE un rendez-vous qui va être très difficile à obtenir. Ce film nous montre que les grands patrons à l’abri de tout, y compris d’une certaine réalité, n’ont aucune pitié pour tous ces ouvriers ils se cachent derrière leur titre et n’assume pas les conséquences de leurs actes ils nous font croire qu’ils comprennent mais c’est faux ils ne peuvent pas comprendre ils sont à l’abri loin du chômage.
Nadia
Quatrième journée
Amin de Philippe Faucon
Amin : ce film est une fiction du réalisateur Philippe Faucon, film qui parle d’un travailleur immigré prénommé Amin qui a quitté son pays, le Sénégal, pour aller travailler en France. Dans ce film, on le voit retourner dans son pays pour rapporter de l’argent pour sa famille et son village, mais la situation entre lui et sa femme se tend, quand il lui dit qu’il ne pouvait pas les emmener en France où la situation des immigrés est difficile. Alors qu’il souffre de la solitude, lors d’un chantier sur lequel Amin travaille, il commence une relation avec sa cliente... Que se passera-t-il entre lui et sa femme et quelles suites aura sa relation avec sa cliente ?
Dans ce film, on peut noter une allusion à un autre film de ce réalisateur (Fatima) qui portait sur une famille musulmane en France : ce sont deux films qui traitent de phénomènes de société très actuels.
Florian
Amin est un film plutôt émouvant. Il raconte l’histoire d’Amin, un immigré Sénégalais qui vit en France pour aider ses enfants et sa femme restés au Sénégal. Il travaille comme maçon. Lorsqu’il revient au pays, il ramène de l’argent de la part des autres Sénégalais en France pour équiper l’école du village. Sa famille lui reproche d’être trop absent. On va se demander si il emmenera sa famille avec lui en France ? Si il gardera contact avec eux ? S’il restera fidèle a sa femme ?
Ce film est touchant, l’histoire se raporte a l’actualité. J’ai beaucoup aimé.
Lucile
Ce film est l’histoire d’un homme Amin un immigré sénégalais qui est en France et travaille pour envoyer de l’argent à sa famille. Il loge dans avec d’autres immigrés de toutes les nationalités dans un foyer. On peut voir la vie que mènent plusieurs immigrés, notamment comment ils se font exploiter par ceux qui ont du pouvoir par rapport à eux et qui en profitent même si cela est au détriment des autres.
Amin souffre, comme beaucoup, de solitude. La rencontre avec une femme française, Gabrielle, chez qui il travaille, est l’occasion de confronter deux solitudes et met en relation deux mondes qui coexistent en parallèle. Une façon touchante d’ouvrir les yeux sur ce qui nous entoure.
Nadia
Ce film social part d’une une situation qui pourrait arriver dans la vie réelle, notamment pour les migrants. Il s’agit d’un homme qui vient du Sénégal et qui réside en France. Il travaille dans une entreprise de BTP mais aussi chez des particuliers. Sont objectif est en fait de gagner de l’argent pour ensuite l’envoyer à sa femme, restée au pays, pour financer les travaux de leur future maison. Il a 3 enfants et une femme qui sont très attristés par la distance qui divise la famille entre les 2 pays ; mais on remarque rapidement que le jeune homme est très travailleur et il a vraiment pour but de gagner un maximum d’argent. Cependant, au cours de travaux chez une femme divorcée, il sympathise avec elle... mais jusqu’à ou ira cette rencontre ?
Amin est le personnage principal du film, c’est autour de lui que tourne l’histoire. Il est travailleur, sincère mais plonge dans une situation qui ne sera peut être pas supportable... On a ensuite, la propriétaire de la maison ou Amin réalise les travaux. On retrouve également les collègues d’Amin ; sans oublier sa famille dans son pays (ses filles, sa femme et son fils). Mais on retrouve également l’ex-mari de la femme chez qui Amin travaille ainsi que leur fille.
Le message que l’on a voulu faire passer est certainement en rapport avec ces deux mondes qui coexistent sans se rencontrer. Car on voit que même si Amin, est en France dans l’unique objectif de gagner de l’argent pour construire sa vie avec sa femme et ses enfants, il s’engage quand même dans une histoire avec une autre femme. C’est aussi peut être a cause de la distance qui est trop grande et au manque d’affection. Donc on voit que malgré toute la bonne volonté, il nous arrive tous parfois de faire des erreurs que l’on regrette.
Dans ce film, on remarque beaucoup de panoramiques et de plans rapprochés taille. Notamment dans les scènes où l’on voit Amin travailler. La dernière scène se termine par la rupture avec la propriétaire, on a donc une fin qui est mitigée car malgré cette rupture.
J’ai bien aimé le film, cependant l’histoire est tout de même triste ! Amin semble perdu dès le début... Le film n’est pas trop long, le message est clair et ainsi cela nous permet de bien comprendre l’histoire. Les scènes sont très bien tournées, on arrive à ressentir toutes sortes d’émotions, et la musique qui vient en compléter certaines scènes permet de plonger le spectateur au cœur du film. Pour conclure, film qui est touchant, je le conseille. Tout est bien construit et bien pensé.
Lucas
La hora de los hornos / L’heure des brasiers de Fernando Ezequiel "Pino" Solanas
La projection a eu lieu dans la salle Bunuel du palais des festivals en présence du réalisateur et présentée par Thierry Frémaux
C’est la première partie du documentaire de 4h30 qui a été projetée aujourd’hui dans le cadre de Cannes Classics.
L’Argentine de la fin des années 1960 est un pays soumis à la dictature militaire.
Ce documentaire est une "démonstration", un manifeste politique qui repose entièrement sur le montage : les images sont entrecoupées de longues incrustations, textes, citations, déclarations et musique envahissante...
L’objet de la démonstration est le "néocolonialisme" subi par l’Argentine et l’Amérique latine dans son ensemble. Le sud du continent américain était la "chasse gardée" des Etats-Unis au cœur de la guerre froide. De ces éléments de "domination", Solanas tire une argumentation autour de l’aliénation par tous les moyens (sauf la conquête directe) du peuple argentin. Le film par certains côtés (le montage en particulier) fait penser à celui de Duvivier pour le PCF au moment de la campagne du Front Populaire. Il y a également des éléments qui nous ramènent à la théologie de la libération.
Y. L.
La hora de los hornos est un film politique, en de multiples sens et pour plusieurs raisons. Fernando Solanas, présent en salle Buñuel, nous a rappelé dans quelles conditions ce film avait été réalisé et diffusé en Argentine : cet « objet » est donc politique parce que sa production et sa distribution, dans la clandestinité, a mobilisé les vertus politiques essentielles que sont le courage, l’insoumission, le refus de l’oppression et la solidarité. Le réalisateur nous a aussi confié son souvenir des projections clandestines et des heures de discussions que le film suscitaient : un film politique n’est pas seulement engagé, il fait parler politique, il produit de l’engagement. Enfin, le cinéma politique se distingue du cinéma social (qui peut avoir aussi ses vertus) parce qu’il ne se contente pas de décrire et de témoigner d’une réalité sociale, mais « fait bouger les lignes », invente des formes esthétiques pour créer des « zones libérées » des carcans sociaux et des habitudes de pensée dominantes. Or, la hora de los hornos, l’heure des brasiers, allume « l’étincelle qui doit mettre le feu à toute la plaine » dans une forme qui évoque Eisenstein et annonce Chris Marker, utilisant tous les ressorts du montage, du son et du texte pour lancer un appel à penser l’impensé du néocolonialisme et à lutter pour la libération, comme dans cette séquence hallucinante où sont montés en parallèle des images de l’american way of Life (la piètre chimère que vend l’Amérique) et des scènes d’abattoirs d’une violence extrême (cette viande que l’Argentine exporte, cette violence qui est métaphore de la réalité de la dictature). Ce n’est pas (seulement) un film didactique, l’argumentation n’est pas que dans les textes, citations et slogans qui justifient et proclament l’insurrection, elle doit être prolongée par le spectateur : on l’influence par des technique qui s’apparentent au cinéma d’agitation propagande, mais, surtout, on lui propose des synthèses audiovisuelles qui le poussent à l’analyse, la réflexion et à l’action, loin de tout renoncement.
Un grand film, donc, dont le côté non narratif a déstabilisé un peu les élèves - mais il faut aussi les déstabiliser un peu, justement.
R. R.
Burning de Lee Chang dong
Ce film est très spécial, il relève d’un genre que je ne saurais définir car j’ai beaucoup de mal à cerner ce que le réalisateur a voulu communiquer, mais cela dit, c’est un film intéressant qui mérite qu’on lui porte attention... dans ce film, il est question d’un homme, Jongsu qui retrouve une ancienne connaissance, Haemi, qui habitait dans son quartier quand ils étaient enfants. Ils discutent et se lient d’une amitié plus proche de l’amour. Haemi demande a Jongsu de garder son chat car elle doit partir en voyage en Afrique, chat qui reste introuvable jusqu’à ce que Haemi revienne de son voyage. Quand elle rentre, elle est accompagnée de Ben, un ami qu’elle a rencontré en Afrique et qui semble être devenu son nouvel amant. Jongsu est plus réticent envers Ben et a de mauvais pressentiments . Un jour, Haemi et Ben rejoignent Jongsu chez lui et, lors de cette soirée, Jongsu dit à Ben qu’il aime Haemi et Ben en rigole et lui dit qu’il s’amuse à brûler des serres - au cours de cette même soirée, Haemi après s’être droguée, se déshabille ce qui gêne Jongsu, et il lui demande pourquoi elle s’est déshabillée et il la compare à une prostituée... à partir de là, on peut voir que cette phrase a touché Haemi qui se fait raccompagner chez elle par Ben, et, à partir de cette soirée- elle disparaît sans laisser de traces - toutes ses affaires et son chat ont disparu, alors Jongsu se lance à sa recherche. Va-t-il retrouver la femme qu’il aime ? Ses soupçons envers Ben sont-ils justifiés ou est-ce de la pure jalousie ?
Florian
Judith Hotel de Charlotte Le bon
Le court métrage a été projeté avant le film L’amour debout
Le film Judith hôtel est un court métrage français tres spécial dont je n’ai pas compris le sens. Je vais néanmoins tenter de vous le présenter. Tout commence par un dialogue où l’on ne voit pas d’image, puis on voit a l’écran un jeune homme qui s’apprête à rentrer dans un hôtel. Là il rencontre le directeur de l’hôtel qui lui pose des questions sur lui et sur ses goûts, son repas du soir, lui rappelle qu’il lui faudra prendre un somnifère. Le jeune homme répond qu’il est allergique et qu’il veut un repas végétalien. Puis dans la journée on leur demande de choisir une arme. Notre personnage choisi le fusil de chasse. A ce même moment il rencontre un homme avec une personnalité très spéciale et un lien ce crée entre eux deux. Cette hôtel a pour fonction de régler radicalement les problèmes des gens et notre homme lui, est insomniaque. Que va t’il se passer dans cette hôtel ? Notre personnage guérira-t-il son problème et en quoi cette arme a-t-elle à voir avec sa thérapie ?
Florian
Ce court métrage est plutôt « original ». Dès le début nous sommes intrigués et on ne comprend pas forcément. Un homme va dans un hôtel car il a des insomnies, il rencontre des personnalités hors du commun : un homme qui mange des stylos et une femme égocentrique. Ils choisissent tous une « arme » mais on ne comprend pas forcément tout de suite a quoi elles vont servir. Ces personnes sont toutes mal dans leur peau, frappées d’obsessions... je vous laisse deviner a quoi serviront ces armes...
J’ai été très surprise par la fin de ce court métrage qui est construit de rebondissement ! C’est une histoire étrange mais très bien faite !
Lucile
C’était un court métrage qui raconte l’histoire d’un homme atteint d’insomnie et dépressif qui va se réfugier dans un hôtel où il fera la rencontre de plusieurs personnes qui sont toutes venues dans un seul et même but : régler leurs problèmes...mais de manière étrange. J’ai beaucoup apprécié car depuis le début c’est intrigant cela fait donc appel à notre curiosité, pour finir la chute est spectaculaire.
Nadia
Un film trouble au début et spectaculaire à la fin. J’ai directement été accrochée par l’histoire car elle a provoqué ma curiosité et il m’a tout de suite intéressée. L’histoire commence avec l’arrivée du personnage principal dans le Judith Hôtel. On apprend que cet homme est atteint d’insomnie et est de nature dépressive. Il fait la rencontre d’autres personnages atypiques de l’hôtel et on comprend qu’il semblent tous être venus dans un même but... mais lequel ?
Le film est un mélange entre drame, une touche de comédie et d’horreur.
Farrah
Dans ce court métrage de Charlotte Le Bon, un hôtel, le Judith Hôtel, promet d’exaucer le vœux le plus cher de Rémi souffrant d’insomnie chronique : tomber dans un sommeil profond.
Cet hôtel particulier étant en réalité un hôtel où nous pouvons nous suicider indirectement. En effet, en arrivant on vous propose de choisir une arme et dans la nuit, après avoir pris des somnifères pour ne rien sentir, une des employés de l’hôtel vient vous donner la mort.
Le cas de Rémi est assez différent des autres puisqu’étant allergique aux somnifères il en est privé. Cependant il arrivera tout de même à trouver le sommeil à deux reprises. Il ne se réveillera malheureusement pas de la deuxième.
Inès et Méline
Il est 14h30 et nous nous préparons à regarder notre premier court métrage Judith Hotel réalisé par Charlotte le Bon. Une première question me triture : mais qu’est-ce qui s’est passé dans sa tête ? Ayant grandi avec Canal + j’ai voué une admiration pour cette fille qui est plutôt un modèle pour moi. Pourtant j’ai eu l’impression de ne pas la reconnaître au travers de ce film. Est-ce la relation entre les personnages ? Les armes qui n’expliquent pas le problème ? La réalité entre le rêve et la fiction ? Quelques petites références à Shining ? Bref beaucoup de questions qui restent en suspens dans ma tête et pour lesquelles je n’aurai sans doute jamais de réponse. J’ai l’impression d’avoir été manipulée et que mon esprit devenait un labyrinthe. Était-ce son but ?
Charlotte
Court métrage de Charlotte Le bon, qui est artiste et actrice : elle présente ici son premier film. Le personnage principal est un homme qui est insomniaque ; il se rend dans le Judith hotel pour « se soigner », il rencontre les autres pensionnaires qui ne sont pas communs. Là-bas , on lui donne des somnifères pour « l’aider »... mais notre personnage est allergique, puis le directeur leur fait aussi choisir une arme… Peut-être sommes-nous, ou sont-ils, perdus entre rêve et réalité ?
Cloé
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L’amour debout de Michaël Dacheux
C’est un film qui évoque différentes situations concernant des relations amoureuses. Premièrement il nous montre la transition entre deux relations amoureuses, moment rarement montré dans les films. Puis on peut voir différentes relations qu’on ne voit pas fréquemment : l’homosexualité et l’amour naissant entre garçons, une relation avec un grand écart d’âge et pour finir le fait de vouloir garder sa virginité. C’était un film intéressant mais sans rebondissement.
Nadia
Il s’agit d’un film qui reprend l’histoire d’un jeune homme et d’une jeune femme qui sont séparés après plusieurs années d’amour fou. Le jeune garçon, souhaite cependant reconquérir le cœur de la jeune femme mais très vite, il abandonne et s’intéresse plutôt à sa prochaine histoire : un jeune homme. Quand à la jeune femme femme, elle se tourne vers un homme plus âgé qu’elle. Comment va évoluer la situation de l’ex-couple ?
Les 2 personnages principaux sont donc le jeune garçon et la jeune femme. Il va changer son point de vue et va se tourner vers les garçons tandis qu’elle vers un homme plus âgé. On retrouve donc les nouveaux hommes formant ainsi les deux nouveaux couples !
Le message qui est passé n’est pas vraiment explicite, mais ce film nous permet de montrer une thème rare au cinéma, le moment de l’entre 2 couples. Ainsi on découvre comment évoluent les personnages dans cette nouvelle vie, ce changement et l’on peut ainsi voir l’adaptation, les différences et notamment les réactions (reconquête...). On retrouve également, beaucoup de références au cinéma, à l’école, budget etc, qui sont omniprésentes et peuvent paraître très lourdes, pouvant nuire a l’histoire principale.
Du point de vue technique, de nombreuses scènes sont filmées en plan rapproché taille, on peut ainsi y découvrir leurs expressions de visages et donc deviner leurs ressentis. La fin est aussi un peu brutale car elle se termine sans vraiment la réponse à nos questions et les spectateurs attendent quelque chose.
J’ai pas vraiment aimé ce film car il n’y a pas vraiment "d’action", je ne trouve pas l’histoire prenante, ni émotionnelle. L’histoire paraît plate et lassante, de plus il y a trop de remarques par rapport à la vie du réalisateur en devenir ! Pour conclure, c’est un film qui reste tout de même intéressent mais il n’y a rien d’exceptionnel, j’ai été un peu déçu.
Lucas
Ce film est surprenant. Il mélange trois situation d’amour. Nous avons d’un côté une jeune femme amoureuse d’un homme plus âgé, d’un autre côté un homme homosexuel qui ne s’est jamais affirmé dans un relation sérieuse mais qui pourtant va découvrir le vrai amour, et pour finir un homme vierge par choix et qui le restera sûrement. Ce film n’a pas vraiment d’action mais il est bien.
Lucile
C’est un film français réalisé par Michaël Dacheux avec Paul Delbreil. Il présente l’histoire d’un ancien couple, Martin et Laura, qui vivent tous deux à Paris : Laura est guide touristique et Martin a fait des études de cinéma et il essaie de devenir réalisateur, mais ils vont tous deux prendre des chemins différents et découvrir l’amour qu’ils ont pour leur nouveau compagnon. Nous allons suivre leur histoire à travers les saisons, durant une année.
Cloé
20h40: et voilà c'est terminé, 5 jours passés en une fraction de seconde, 5 jours magiques! C'était un moment exceptionnel dont nous avons profité jusqu'à la dernière seconde. Découverte du monde cinématographique sous un joli soleil dans une ville de luxe : c'est le rêve. On ne remerciera jamais assez Monsieur Rémond de nous avoir permis de réaliser un rêve et de sa super organisation !! Merci à Monsieur Leblanc de nous avoir accompagné, d'avoir partagé ce moment avec nous et de nous avoir fait rire. Grâce à cette expérience j'ai pu prendre conscience de certaines choses et développer mon esprit critique. J'espère pouvoir revivre cette aventure un jour.
Jade
Cette semaine on s'est rendu au 71 e festival de Cannes on a assisté à la projection de plusieurs films pour en faire des critiques. 14 au total qui étaient en "compétition" pour nous. J'ai trouvé cette semaine intéressante car on découvre plusieurs style de films auxquels on ne s'intéresse pas forcément. Cela nous a permis de découvrir un monde du cinéma différent de celui qu'on côtoie tous les jours. Nous n'avons pas fait que regarder des films on a aussi eu du temps pour visiter les lieux et de construire des souvenirs. La bonne entente était présente dans le groupe tout au long du voyage.
Le mercredi 16 mai on a monté les fameuses marches du palais.
Les deux derniers jours on a assisté aux dernières séances puis on a pris du temps pour ranger les lieux pour le retour à Saint-Léon-de-Vignes .
Pour le dernier repas nos prof on eu la gentillesse de nous offrir de délicieuses pâtes !
Asma
Nous nous sommes embarqués lundi, en direction de Cannes sans avoir la moindre idée de la magie qui nous attendait ! Nous avons pu voir 14 films durant la semaine, certains mieux que d’autres, certains plus touchants, plus intéressants ... Quand à la ville en elle même, on retrouve l’ambiance chaleureuse du Sud, le soleil, les belles voitures, les yachts, enfin bref, toute la richesse, de quoi nous en mettre pleins les yeux. Lorsque nous nous sommes rendu pour la première fois au palais des festivals, nous ne savions pas où donner de la tête, il y avait tant de chose à regarder ! Sans oublier la montée des marches juste MAGNIFIQUE ! Un moment qui restera gravé dans la mémoire de chacun ! On retient également les temps libres, qui nous permettaient de nous changer les idées tout en restant dans la ville du cinéma. Même si les nuits étaient courtes, la bonne ambiance était toujours présente chaque jour, on retrouvait notre cohésion de groupe, le sourire, enfin bref, juste la joie de se trouver au festival de Cannes ! On ne réalise encore pas vraiment la semaine qui s’est déroulé, mais chacun de nous est conscient de la chance que nous avons eu ! On rentre tous, les étoiles pleins les yeux, la tête remplie de souvenirs inoubliables, et bien sûr, la tristesse de rentrer après une semaine qui est passée tellement vite ! Voila une semaine exceptionnelle, ou l’on a pu vivre la vie de stars à travers strass et paillettes... Et évidemment, un grand merci aux organisateurs, Mr Remond et Mr Leblanc, sans qui, cette magie n’aurait pu opérer !
Lucas
Cette semaine était INCROYABLE! C’est le meilleur voyage scolaire que j’ai fait ! On a vécu 1 semaine de pur rêve ! Entre des films super intéressants, les fous rires entre copains et une montée des marches magique... j’aimerais refaire cette semaine tous les jours !! J’ai réalisé un rêve cette semaine en participant a ce festival, je me suis retrouvée dans le milieu du cinéma, le milieu de mes rêves, je ne savais plus ou donner de la tête ! Je souhaite a tout le monde de vivre ce que l’on a vécu ! Je remercie mon lycée et nos deux professeurs Mr Remond et Mr Leblanc sans qui cette semaine n’aurais jamais été aussi géniale, ils ont tous fait pour qu’on passe la meilleure des semaines ! Mon ressenti est court, mais je ne sais même pas comment m’exprimer, je n’ai pas de mots pour décrire cette semaine tellement elle était magique, ces moments resterons gravés à vie dans ma mémoire.
Lucile
Après avoir assisté au 71e festival de Cannes je pense pouvoir dire que ce fut la meilleure semaine que j’ai pu passer. L’ambiance était tellement incroyable, on a énormément rigolé ensemble, avec les profs, toujours de bonne humeur. Toutes les journées étaient très fatigantes, très chargées mais c’était tellement bien. On s’est énormément amusé et j’aimerais vraiment refaire ce festival. Être dans le monde des strass, des paillettes avec les stars, les films c’est vraiment génial. Tout ça va beaucoup me manquer je n’avais aucune envie de partir et de quitter tout le groupe car il y avait vraiment une bonne entente. Cette semaine restera gravée, on part avec pleins de beaux souvenirs, plein de belles photos et des étoiles pleins les yeux.
En remerciant nos professeurs Mr Reymond et Mr Leblanc pour tout ce qu’ils ont fait pour nous cette semaine, notre chauffeur de bus qui a été super sympa tout au long du séjour.
Clémence
J’ai passé un excellent séjour, le meilleur je dirais. J’ai pu faire la découverte de films que j’ai trouvés intéressants et que je n’aurais jamais regardés auparavant. Cette semaine est remplie de très bons souvenirs je suis reconnaissante d’avoir eu cette chance. J’ai pu faire de magnifiques photos pour garder en souvenir. L’ambiance était géniale. J’étais entourée avec la meilleure équipe d’option cinéma étant donné que nous sommes tous bons amis, en très bonne entente. Les accompagnateurs sont restés cool et toujours souriant. Chaque journées passés là-bas étaient radieuses.
Farrah
Cette semaine était tout juste incroyable et riche en émotions. On a découvert pleins de films tous différents les uns des autres, cela nous a permis de développer notre esprit critique. Cette semaine à créer de nouvelles amitiés et à resserrer des liens. C'était une expérience unique : films, le tapis rouge, les paillettes... je ne remercierai jamais assez toutes les personnes qui ont fait que ce voyage soit possible et qui ont rempli cette semaine d'émotions fortes. Ces souvenirs resteront gravés dans ma mémoire et je pense aussi dans celle de toutes les personnes qui y ont participé. Un grand merci à tous.
Nadia
Nous sommes finalement rentrés à Saint-Léon-de-Vignes après une semaine de folie passée à côté de camarades et d’accompagnateurs géniaux. Je tiens donc à les remercier pour la bonne entente du groupe et les nombreux souvenirs partagés.
Durant cette semaine, nous avons finalement vu énormément de films, de genres différents. Par exemple, nous avons pus voir un documentaire puis une comédie française, ainsi que de nombreux films japonais ou encore mexicains.
Comme je le pensais, cette expérience a été bénéfique pour moi, dans le sens où nous avons pu réaliser un rêve tous ensemble et découvrir un monde qui nous semblait inaccessible.
Marie J
Ce séjour à Cannes était magique. Les films étaient géniaux, mais j’ai eu un coup de cœur pour « En guerre », « Mario » et « heureux comme Lazzaro ». Monter les marches du festival de Cannes était pour moi quelque chose d’impossible, mais, grâce à monsieur Remond et monsieur Leblanc, ce moment est devenu possible : je les en remercie. Et j’ai passé de bons moments avec mes amis.
Marilou
Nous sommes partis lundi matin pour être le temps d’une semaine critiques de film, photographes. Nous avons vu 13 films et 1 court métrage. Cette semaine, nous avons eu un « métier » pas facile et nous avons eu des désaccords sur les films mais c'est ça qui nous a permis de renforcer nos idées. Cette semaine, nous avons aussi monté les marches, le tapis rouge : une expérience magnifique ! Nous avons aussi rencontré quelques personnes qui nous ont fait part de leurs expériences de leurs ressentis au fil des années. Nous rentrons vendredi après avoir vu le premier court métrage de Charlotte Lebon, qui est intéressant et surprenant.
Ce voyage a été fatigant mais nous en gardons un magnifique souvenir digne d’un conte de fée.
Cloé
LE PALMARÈS sur les 14 films vus
1. Felice Lazzaro
2. Mario / En Guerre
3. Une affaire de famille